Lorsque vous partagez vos photos en ligne, vous transférez des informations à un tiers mais ne maitrisez pas ce qu’il en adviendra, et ce pour toute la durée de la vie du document partagé. Que ce soit sur les réseaux sociaux, votre site web ou encore les sites du gouvernement, il est crucial de prendre des mesures pour protéger votre travail ou votre identité contre une utilisation non autorisée.
C’est là qu’intervient le watermarking.
Pourquoi avez-vous besoin d’un watermark ?
Les watermarks sont des superpositions de texte ou d’images discrètes ajoutées à vos photos pour indiquer leur propriété. Voici quelques raisons pour lesquelles vous pourriez vouloir utiliser un watermark :
Protection du droit d’auteur : En apposant un watermark sur vos images, vous indiquez clairement que vous êtes le propriétaire légitime de ces œuvres. Cela dissuade les utilisateurs malveillants de les utiliser sans votre autorisation.
Promotion de la marque : Un watermark bien conçu peut également servir de moyen de promotion pour votre marque ou votre entreprise. En ajoutant votre logo ou votre nom à vos images, vous augmentez la visibilité de votre marque chaque fois que vos photos sont partagées.
Identification facile : En cas de vol ou d’utilisation non autorisée de vos images, un watermark peut faciliter l’identification de l’origine de la photo. Cela peut être particulièrement utile si vous devez prendre des mesures légales pour protéger vos droits.
Comment utiliser notre outil de watermark ?
Notre outil de watermark est conçu pour être simple et intuitif à utiliser. Voici les étapes à suivre :
Sélectionnez l’image que vous souhaitez protéger. Vous pouvez télécharger une image depuis votre ordinateur ou utiliser une URL si l’image est déjà en ligne.
Personnalisez votre watermark. Vous pouvez choisir d’ajouter du texte, comme votre nom ou le nom de votre entreprise ou la date du jour.
Validez et téléchargez l’image protégée. Une fois effectué, récupérez l’image avec le watermark et la télécharger sur votre ordinateur.
En suivant ces étapes simples, vous pouvez rapidement et efficacement protéger vos images en ligne avec un watermark personnalisé. N’hésitez pas à utiliser cet outil chaque fois que vous partagez des photos en ligne pour assurer la sécurité et la reconnaissance de votre travail créatif.
Lorsqu’il s’agit de gérer efficacement nos fichiers, qu’il s’agisse de documents importants, de photos précieuses ou de tout autre type de contenu numérique, il est essentiel d’avoir une méthode organisée et cohérente. Une approche que j’ai adoptée et qui a considérablement simplifié ma vie numérique est l’utilisation d’un préfixe de nom de fichier.
Qu’est-ce que la méthode yyyymmdd ?
Le concept est simple : chaque fois que vous créez ou renommez un fichier, commencez par ajouter la date au format yyyymmdd en préfixe au nom du fichier. Ici, « yyyy » représente l’année en quatre chiffres, « mm » le mois et « dd » le jour. Je ne rajoute pas de points entre les jours et les mois, pour réduire la taille du nom de fichier à l’essentiel; par contre, les espaces créant parfois des incompatibilités j’ajoute un ‘tiret du bas’ ou ‘underscore’ entre le préfixe et le nom du fichier, par soucis de lisibilité. Bref, par exemple, si aujourd’hui est le 14 février 2024, le préfixe serait « 20240214_ ». C’est encore plus logique quand on regarde les fichiers issus des appareils photo, qui suivent la même norme !
J’ajoute ensuite le thème du fichier, l’organisme qui à émis le document, que ça soit une facture, une quittance, voire un emplacement; Tout détail me permettant de retrouver facilement le document juste à parti du nom !
Les avantages de cette méthode sont multiples :
Facilité de recherche : En commençant par la date, vos fichiers sont automatiquement triés chronologiquement. Cela signifie que vous pouvez rapidement retrouver un fichier en vous souvenant simplement de la date à laquelle il a été créé ou modifié.
Organisation cohérente : Avec cette méthode, tous vos fichiers sont nommés de la même manière, ce qui rend la gestion globale de votre système de fichiers beaucoup plus fluide et intuitive. D’un simple coup d’œil, on peut aussi deviner le contenu du fichier et son âge !
Évitement des doublons : En ajoutant la date au nom du fichier, vous réduisez considérablement le risque de créer des doublons. Chaque fichier a un nom unique dès sa création, ce qui facilite la distinction entre différentes versions ou variantes du même document.
Compatibilité mondiale : Finalement, c’est un peu international. En Europe on est plus dd.mm.yyyy pour Jour.Mois.Année. Aux Etat Unis, c’est davantage mm.dd.yyyy, ce qui déroute. En utilisant yyyymmdd, on obtient quelque chose de logique et, peu importe l’emplacement ou vous vous trouvez, dans le monde, le système fonctionnera de la même façon… !
Comment appliquer cette méthode à votre propre système de fichiers ?
Soyez consistant : Assurez-vous d’appliquer cette méthode de manière cohérente à tous vos fichiers. Cela inclut non seulement les documents sur votre ordinateur, mais aussi les photos, les vidéos et tout autre type de contenu numérique.
Automatisez si possible : Si vous utilisez un logiciel de gestion de fichiers ou de photos, recherchez des options permettant d’automatiser le processus de nommage des fichiers. Cela vous fera gagner du temps et garantira une application uniforme de la méthode yyyymmdd_.
Restez flexible : Bien que la méthode yyyymmdd_ soit extrêmement utile, il peut y avoir des cas où vous préférez un autre système de nommage. L’essentiel est de trouver ce qui fonctionne le mieux pour vous et de rester fidèle à cette approche.
En adoptant la méthode yyyymmdd_ pour la gestion de vos fichiers, vous simplifierez grandement votre vie numérique. Plus de temps perdu à chercher des documents égarés ou à essayer de démêler un système de fichiers désorganisé. Essayez-le dès aujourd’hui et découvrez à quel point il peut être facile de rester organisé dans un monde numérique en constante évolution.
Passionné de domotique et automatisation, j’ai déjà quelques challenges à mon actif…
Participation aux trophées de my-domotique – 2014 : inclut la motorisation et utilisation de relais Fibaro pour la gestion de volets, de scripting LUA sur box Vera, de contrôle de lumières, de flux vidéos, visualisation des consommations d’énergie, et un lapin Nabaztag (Karotz) pour ‘autonomiser’ les enfants via le contrôle de l’éclairage et des lumières (inversement des états en journée = volets, soirs = lumière ), chacun ayant son tag RFID. Plus tard, j’ai ajouté des tags RFID assignés à une ouverture de ports firewall pour 1h d’accès Web, chacun son tag.
Jeedom sur Android – 2017 : installation d’un serveur web et serveur de base de données sur un vieux smartphone afin d’y faire tourner un serveur domotique avec comme but, de réutiliser l’existant plutôt que de racheter un serveur pour héberger la domotique de la maison.
Depuis, ma vie à un peu changé tant géographiquement que familialement. Cette maison équipée RJ45 fait partie de mon passé mais je suis resté proche de la technologie.
Mais.. revenons-en au présent..
Dans ma nouvelle vie, je n’ai pas souhaité refaire tout le placo de ma nouvelle maison pour y passer du câble domotique; Je n’ai actuellement je n’ai qu’une installation minime permettant de contrôler en Zigbee
L’éclairage du couloir+escalier (luminosité) selon horaire et capteurs de mouvements
L’éclairage et la sonnerie sur présence au pas de la porte
La planification d’éléments (éclairages d’ambiance, aspirateur, prises connectées, pompe piscine)
Récemment.. les volets des fenêtres de toit Velux -but de cet article 🙂
Retour rapide en 2021, lors de l’installation de quatre fenêtres de toit, et la rénovation de deux autres; Concernant les volets roulants, j’avais hésité : Volets Filaire Velux avec possibilité de contrôle à distance via Somfy ou box propriétaire, ou bien.. volets ‘solaires’ sans fils. Par anticipation, lors de l’aménagement des combles, j’avais passé les gaines pour l’électricité pour des potentiels nouveaux Velux. Les deux volets velux à remplacer étaient aussi électriques..
Les deux solutions tant filaire que sans fils, étaient possible et financièrement, sans ajout de contrôle à distance, les deux solutions étaient concurrentes en prix. Reste :
La mise en domotique d’un volet Velux filaire demande l’achat en supplément d’un module qui consomme 20w en permanence par volet et demande une app supplémentaire dédiée..
La solution sans fil est plus facile et rapide à installer, ne permettait pas de domotique; Sur les 20 prochaines années, la batterie sera surement à changer.
Avec un peu de réflexion, j’ai préféré ne pas ajouter de conso électrique à la maison.. risquant pour les batteries.. c’est un risque mais je suis parti là dessus me disant que le [hack] d’une télécommande Velux ne devait pas être si compliqué !
Volets installés, il y a donc, une télécommande par volet. Le matin et le soir, c’est le tour des volets pour faire l’action…
Fainéant par nature, j’ai donc commencé à simplifier mon quotidien en groupant les volets d’une même pièce ou d’une même exposition, sur une seule télécommande. Voici selon Velux, comment configurer les télécommandes avec le seul pré requis, qu’elles soient de model identique :
Avoir groupé les quatre volets du second étage, et descendu la télécommande, déjà la vie était facilitée par un appui unique le matin et le soir. En effet, une seule télécommande, pour un groupe de volets.. c’est une seule action..
Mais moi je ne veux pas d’actions.. j’ai déjà plein de choses à faire et je suis très fatigué. Pour aller plus loin, j’ai ouvert une des télécommande (du coup inutilisée) avec mon multimètre en main pour en analyser les commandes. Voici, sur différents appuis ce qu’il en ressort :
Intérieur d’une télécommande Velux avec repérages monter – descendre – stop- masse
Tests avec soudures sur carte mère
À savoir, on peut shunter un bouton mais on ne peut pas envoyer du 3.3v ou 5v dessus au risque de froisser les composants en amont/aval; Pour passer une commande il faut un relais de puissance qui fera un contact sec.
Afin de piloter cette carte, j’ai donc investi (une vingtaine d’euros) pour sur une carte relais « Connectée » pour être pilotée via un assistant (Alexa / « Ok Google ») munie de 4 relais pour pour piloter montée (1) descente (2) et stop (3). Deux auraient été suffisants le stop étant accessoire car les interrupteurs, mais au même prix et dimensions similaires, je me suis dit que cela ne valait pas la peine de se priver… (qui sait, stopper les volets après un temps donné de descente ou montée peut être un cas d’utilisation? )
Note 1: Cette carte relais permet une configuration avancée, évitant les actions sur les entrées simultanées (évite un appui simultané sur monter+descendre par exemple) ou permettant de simuler un appui simple (contact simple type bouton de télécommande) vs contact long type interrupteur luminaire.
Note 2: Nous sommes ici en électronique. Chaque action que ce soit montée, descente ou stop, nécessite le fil conducteur (+) et la masse (-) en retour
Étape suivante : le design et l’impression en 3D, d’un boitier de protection pour ces relais alimentés en micro USB. Après la prise des dimensions extérieures de la carte relais, prenant en compte les soudures du dessous, les blocs en hauteur, j’ai dessiné le boitier de la carte relais sur Autodesk Fusion360. Je vous passe le slicer Cura et les photos de l’impression… voici le premier jet.
Version Beta de la télécommande avec boitier
Passons à l’étape logicielle : installer l’application pour contrôler la carte (eWeLink – une des deux majeures avec Smart Life pour les objets connectés) >> Appairer la carte relais au smartphone, la connecter au WiFi de la maison (accessoirement ajouter une règle sur le firewall) >> Donner un nom et une pièce au périphérique >> Créer une scène pour la commande « ouvre les velux » >> Faire une découverte par votre assistant >> tester.. « Ok Google, ouvre les Velux » pour voir la magie opérer.
Par expérience, je déconseille de forcer l’ouverture des Velux le matin.. un jour férié vous fera détester votre installation par contre, via l’appli dédiée de la carte j’ai créé un scénario pour fermer les velux lors du coucher du soleil. La boucle est bouclée.
Finalement, pour rendre le tout plus WAF (Women Acceptance Factor) j’ai repris le boitier imprimé en PLA, et ait l’ai redessiné pour y intégrer la télécommande Velux. Bien plus compact, je n’ai plus qu’un câble micro USB à brancher.
Carte relais rangée dans son boitier. La trappe verticale verrouille le tout
Télécommande Velux version finale incluant la carte relais, il ne manque que l’alimentation micro USB
Après plusieurs jours de satisfaction, j’ai encore optimisé le tout : une nouvelle commande « Ouvre les Volets » dans l’assistant, qui monte les Velux ET les Volets roulants de la maison. Ainsi, optionnellement, d’une simple commande, vocale le matin, toute la maison se réveille !!
Cet article sur la mise en place de mes Velux connectés est terminé.. au final, cela m’aura coûté une petite heure ainsi qu’une 20 aine d’euros, moins de temps que prévu, mais surtout, beaucoup de plaisir à décortiquer et trouver une solution .. !
Si cet article vous à plu.. et que vous avez des idées de domotique, de bricolage… n’hésitez pas à partager votre projet, ou juste votre bonne humeur et vos ondes positives, via le formulaire de contact et donnons vie à vos idées ! !