La veille technologique est une pratique essentielle pour rester à jour dans un monde en constante évolution. Que vous soyez un passionné de technologie, un professionnel du secteur ou simplement curieux, découvrir les dernières tendances et innovations peut être une expérience enrichissante, dans cet article, je vous présente ma sélection de sites de news, de sites web et de podcasts qui vous aideront à rester informé et à approfondir votre compréhension de la technologie… tout au moins qui le font pour moi !
Sites Web de Veille Technologique :
Krebs on Security : Krebs on Security se concentre sur la cybersécurité et offre des analyses approfondies sur les menaces en ligne, les violations de données et les développements en matière de sécurité informatique.
Korben : Korben propose des actualités technologiques, des tutoriels informatiques et des astuces pratiques. Un site idéal pour ceux qui recherchent des informations techniques et des analyses pointues.
Numerama : Numerama couvre un large éventail de sujets technologiques, des actualités aux analyses approfondies. Une source diversifiée d’informations pour comprendre les enjeux du monde numérique.
Clubic : Clubic offre des actualités technologiques, des tests de produits et des guides d’achat. Un site complet pour rester informé sur les dernières tendances du monde de la technologie.
XDA Developers : Spécialisé dans le développement Android, XDA Developers est une référence pour les amateurs de personnalisation et de bidouillage sur leurs appareils mobiles.
ZDNet news : ZDNet propose des actualités technologiques, des analyses et des commentaires sur les développements de l’industrie. Une source fiable pour comprendre les implications commerciales des innovations technologiques.
The Hacker News : The Hacker News se concentre sur la cybersécurité et offre des actualités sur les vulnérabilités, les piratages et les menaces en ligne.
Newsletters de Veille Technologique :
Le Monde Informatique : Le Monde Informatique propose une newsletter quotidienne pour rester informé des dernières actualités technologiques, des tendances du marché et des innovations.
ZDNews : ZDNews offre une newsletter hebdomadaire pour ceux qui préfèrent une vue d’ensemble des actualités technologiques chaque semaine.
SANS NewsBites, SANS AtRisk : SANS.org est une organisation leader en formation, certifications. Leurs newsletters partagent des insights, des actualités et des ressources clés sur la cybersécurité.
Daniel Miessler : La newsletter de Daniel Miessler propose des analyses, tendances et ressources sur la cybersécurité, la technologie et la société en général.
superhuman.ai : La newsletter Superhuman AI offre des conseils et des ressources pour exploiter l’intelligence artificielle afin d’accroître votre productivité et accélérer votre carrière; C’est une belle inspiration pour améliorer les prompts.
Forums et Communautés :
Quora : Quora offre une plateforme où vous pouvez poser des questions et obtenir des réponses de la part de professionnels et d’experts du secteur technologique.
Reddit: Reddit émerge comme un véritable carrefour dynamique où les passionnés de technologie se réunissent pour partager, discuter et explorer les dernières tendances et innovations du monde numérique
Podcasts de Veille Technologique :
De Quoi je Me Mail : Un podcast qui décrypte l’actualité tech, internet et la culture numérique, animé par François Sorel et Anicet Abel.
Le Rendez-vous Tech : Ce podcast explore les dernières nouveautés technologiques, les innovations et les tendances, animé par Guillaume Vendé.
Niptech : Niptech offre des discussions sur les actualités technologiques, les startups et les innovations dans une ambiance décontractée, animé par Patrick Beja et Grégory Pouy.
L’apéro du Captain : Animé par le Captain Web et Kwakos, ce podcast propose des discussions informelles sur l’actualité technologique et digitale, avec une touche d’humour.
Comment tout cela se combine pour un fonctionnement optimal ?
Au quotidien, je reçois des newsletters par email, qui me donnent les tendances sans avoir à chercher moi-même. Parmi elles, « ZDNews » et « Le Monde Informatique ». De façon bihebdomadaire (environ), je reçois celles de SANS et de Superhuman, et chaque mardi, la newsletter de Daniel Miessler.
D’un autre côté, j’utilise une page d’accueil sur mesure développée en PHP, qui agrège mes flux RSS. Si un flux est indisponible, un script en curl récupère directement le texte. Cette page, rafraîchie automatiquement toutes les 20 minutes, me permet d’accéder aux dernières informations en quasi temps réel. Elle inclut également mes liens favoris, l’état de la production et de la consommation énergétique de mon habitation, et même des données sismiques locales. Je reviendrai peut-être sur cette page personnalisée un autre jour. 😉
Les podcasts, eux, sont automatiquement téléchargés sur mon mobile. Ils me permettent de stimuler mon esprit pendant les moments où je suis déconnecté, par exemple lors de mes déplacements.
En explorant ces sites web, newsletters et podcasts, vous découvrirez l’univers fascinant de ma veille technologique et resterez à la pointe des avancées du monde numérique qui nous entoure.
De Porto Vecchio à Ajaccio, traversés des magnifiques sentiers corses du Mare a Mare Sud et Mare a Monti Sud. Une petite semaine d’aventure, pour faire les 140 km et 6000 de d+, avec des découvertes, de paysages incroyables et de rencontres inattendues milieu Octobre 2024 !
Arrivée et Jour 1 – Porto Vecchio – Levie via Cartavalone
Arrivée à Ajaccio à midi, nous rejoignons la ville depuis l’aéroport à pied, puis prenons le bus en direction de Porto Vecchio. Trois heures de trajet, un vrai manège à sensations, avec des virages serrés qui nous donnent l’impression d’être dans un rallye avec Sébastien Loeb en pilote de minibus !
Une fois arrivés et descendus du bus nous découvrons la ville, et le bord de mer. C’est un nom très connu mais cela fait ‘tout petit’ (~12.000 habitants). Vient ensuite la recherche de notre gîte AirBNB. L’adresse donnée à un taxi local, tourne à l’épopée : pas de numéro de téléphone ni d’adresse exacte. Résultat après plusieurs échanges écrits : 2 km de marche avec une frontale pour finalement trouver l’endroit – Chez Farah – Rte de Nota, 20137 Porto-Vecchio.
Le lendemain matin, un départ improvisé avec pour tout petit-déjeuner quelques madeleines à grignoter. Nous nous lançons sur les chemins. Hic.. nous avons appris la veille que certaines routes seront coupées à la circulation pour le passage du rallye historique du tour de Corse. Il nous faut passer les chekc point à pied avant les voitures. Nous accélérons le pas, pour ne pas rester bloqué. Après une montée un peu plus rapide que prévue, nous nous offrons une pause café bien méritée.
En chemin, nous observons des traces de sangliers : la terre est retournée, les chemins saccagés par leur passage. Ramona aperçoit même un renard !
Nous poursuivons notre chemin jusqu’à Carbini, où nous dégustons des pâtes à la carbonara, avant de repartir à travers une forêt de pins géants. Le dénivelé sera plus tranquille. Après 26 km, nous atteignons Levie, notre point de chute pour la nuit : Gite d’étape Levie : 04 95 78 46 41 | 06 22 31 25 09 – Mme Uberto
Jour 2 : De Levie à Serra-di-Scopamène
Nous continuons à suivre la trace orange en direction de Quenza puis Serra-di-Scopamène.
Dès le départ, nous avons la vue sur Serra à environ 7/9 km à vol d’oiseau, mais comme nous ne sommes pas des oiseaux, on fait le tour !Comme la veille, mais un peu moins bien indiqué, le chemin est néanmoins très accessible. Pas dix mètres sans croiser un champignon coloré ou de la terre retournée par les sangliers.
Près d’un site préhistorique, on apprend que les Corses sont ici depuis –7000 (i.e: 7000 avant JC).
Entre roches, et pierres.. un peu de terre labourée par les cochons. Sur les côtés, des pins, des chênes, des arbousiers.. Au détour de notre marche, nous croisons des lézards, chèvres sauvages, cochons sauvages, et même des vaches en liberté. Les animaux ne manquent pas sur ce chemin !
Pour les faire partir, je leur crie mon discours préféré, celui de la chaîne alimentaire tout en faisant du bruit et en tapant mes bâtons… même si je n’ai pas fait le malin quand un cochon s’est approché de moi … (j’ai alors redoublé de bruit !!)
Finalement.. et surtout nous n’aurons pas couru a perdre Alléne (Aulléne) car nous y sommes passé, faisant un détour de 5 km avant Serra… Pour de magnifiques images. Oui, nous conseillons ce détour !
Hier soir nous avons diné à Serra, restaurant du coin. C’était vraiment sympa, une bonne ambiance.
En fait, tous les villageois -a priori – s’y retrouvent pour jouer aux jeux de société. Aussi aux jeux loto.. et autres PMU mais vraiment un bel endroit. J’y ai mangé du cochon, une belle saucisse locale quand Ramona a pris un gratin d’aubergines. Nous avons dormi dans le gîte d’étape en lit superposé.. (chambre privatisée du fait du peu de randonneurs ! Le matin.. lever tôt pour attaquer en même temps que le lever du soleil. Départ vers 7:30. Dans la descente, on ramasse des châtaignes.. on se dit.. ça peut être cool, mais vraiment sans y passer trop de temps non plus, car selon mon roadbook, 22 km nous attendent avec du gros dénivelé.
Alors qu’hier, nous avons emprunté des passages où passent davantage d’animaux que d’hommes.. aujourd’hui c’était moins le cas. Vers 9h30.. premier faux pas. Après un pont, on rate une indication.. plus loin, une autre flèche orange nous guide.. le souci, c’est que ce symbole orange était une marque de déboisement.. on s’est fait 400m de montée pour rien.. mais on a retrouvé le chemin plus loin en dé-escaladant, et prenant un raccourci à travers les bois, avec nos sacs. Une belle suée. Merci le gps et les cartes !
Le tracé passe de montagne en montagne et l’on arrive fréquemment à identifier notre prochaine ville en regardant sur le flanc opposé pour plus tard, retrouver notre origine. Le parcours est forcément vallonné et monte ou descend sauf.. plus tard. Bref arrive à Sainte Lucie et on achète un déjeuner picnic pour ne pas perdre de temps. du thon, des pommes, du taboulé, du pain et de l’eau. Nous n’ouvrons pas le thon en conserve.. tant mieux (voir plus tard). Le chemin descend, la végétation change. Hors sujet et pas pro, mais je reçois un coup de fil pour un entretien.. on ralenti le pas pour me permettre de respirer et réfléchir, mais sans nous arrêter vraiment : nous avons un objectif quoi !! (ce coup de fil était prévu et ma condition annoncée)
La végétation change selon l’altitude. Des châtaigniers, nous arrivons aux oliviers et les chemins plus étroits sont aussi moins labourés par les cochons. Nous passons de la terre à la roche et sur notre passage, des dizaines de lézards qui bronzaient, ont fuit.
A un moment nous avons vu des cochons pas très sauvages. Ils n’ont même pas eu peur de nous. Limite.. ils nous dérangeaient plus que l’inverse. Plus tard, à force de descendre, le moment dur arrive.. la montée. Sur le topo, elle fait peur et nous a bien fait transpirer. Vraiment. Pas un bon moment mais non plus pas le choix. Le meilleur moment, c’est la vue une fois sur le plateau, c’était magnifique. Une vue à 300 degrés (oui, presque entière) et cette marche sur la crête.. pour finir et redescendre : arrivée à Fozzano.
Le hic, c’est que notre gîte est à Santa Maria (Pascal AirBNB – Route du col de foce, Fozano) , 2.2 km de plus.. en montée de surcroît.. et bien-sûr.. l’épicerie du village est fermée. Nous avons donc pour dîner, des châtaignes et du thon en boîte avec des petits pains suédois 😁. Voici une belle journée ou notre podomètre affiche 30km..
Jour 4 : De Fozzano à Porto Pollo via Olmeto
Réveil matinal, pour une longue marche mais surtout déjà, rallier notre départ a 2km. 8h.. on est sur la piste. Ça descend, et on passe par des chemins ou j’ai l’impression d’être un éléphant tant les herbes gênent. Évidemment. Voyant le topo.. il est clair que ça remonte et après le pont.. c’est parti. La montée est très raide.
A ce niveau, la distance joue mais le sol n’est pas vraiment en terre. Il y a tanto, de gros cailloux, tanto des rochers taillés par les pluies et passants. La vitesse chute. Le sac devient très lourd. Il fait chaud. Il est juste 9h30.. nous sommes trempés..
Le paysage reste comme celui des jours précédents, entre pins, forêt.. parfois dense et permettant d’être à l’ombre. S’en suit une descente très raide vers Olmeto (nous n’y mangeons pas une omelette mais une salade de chèvre chaud. Très bonne). On aura bu sur place, presque 2l d’eau. Il faut dire, nos 2l du matin ont été vite bu avec ce dénivelé et nous sommes arrivés au resto avec l’impression de sortir d’un désert.. bouche sèche ! On repart du resto avec de l’eau pour la suite.. et à part une grosse montée, le reste était plutôt roulant. Nous avons pu voir une tortue (oui.. on s’est demandé aussi comment elle pouvait être là) et des chèvres. Le chemin était donc, roulant jusqu’à la fin.. enfin celle du chemin car il se finit comme ça, sur une route nationale, les 6 derniers km en bord de route.. sans trottoir, avec les voitures qui passent à côté.. pas top du tout cette arrivée à Porto Pollo. Il est presque 18h, et on ne a marre.. dommage car cette petite ville de 210 habitants, en bord de plage mériterait sûrement un peu plus de temps.
Soirée très reposante à l’Auberge Kalliste – Porto Pollo.
Fin de la première partie du chemin. Mon avis : Globalement, ce Mare a Mare sud en Corse, est vraiment sportif, bien indiqué (encore plus sportif si l’on cumule les étapes) mais manque un peu d’opportunités pour des vues panoramiques.
Jour 5 : De Porto Pollo à Bisinao via Coti-Chiavari
Hier soir, après cette marche de 6 km en bord de nationale, mais aussi avec la température et l’image d’une transpiration qui a duré la journée, on a douté. Continuer .. arréter.. mais comment s’organiser pour rejoindre la prochaine étape ? Sans solution facile, on a décidé d’essayer ce matin les 27 km..
Au sujet du soir.. ce mercredi soir.. je réalise à 19h la veille, que la réservation est pour le ‘jeudi 16 octobre’ et non ‘mercredi 16 octobre’. On parle de 2025 vs 2024. Après appel.. j’apprendrai que oui, je me suis bien planté car l’hôtel est privatisé cette année… Je suis un Boulet ! (c’est dommage car cet hotel était top, on aurait dormi dans un mini dome avec vue sur le ciel.. bref… )
Hop.. gîte de France, Google maps, Airbnb.. pour trouver une solution. On tombe sur le gîte d’étape de Bisinao, qui est fermé mais transformé en Airbnb. Ca c’est fait ! Ensuite on passe au dîner. J’ai pris une soupe de butternut et une courgette farcie. Ramona un filet de maigre sur risotto. C’était trop bon.. Bref. On continue aussi d’évaluer la suite avant d’aller nous coucher.
Ce matin du jour 5.. on était en forme… et on ne trouvait pas de Uber.. ( j’ai appris plus tard, qu’Uber est en Corse mais que dans les grandes villes). L’hotel n’a pas vraiment de contacts de taxis à proposer en cette saison : aller.. après le petit déj, on part et on verra. Évidemment à 8h du matin, quand on part, tôt pour avaler les 27km, le petit mini marché ‘proxi’ est fermé > Pas grave on trouvera plus tard.
Le début est très montant mais la pluie douce et fine fait que cela passe facilement. Au village suivant, Coti-Chiavari, l’épicerie est fermée. On commence a stresser car nous n’avons rien pour le dîner et les restaurant du coin sont fermés. Lors de notre pause a midi, nous demandons à payer pour emporter 200g… 300g de pâtes crues : impossible, la patronne ne sachant pas combien nous vendre cette denrée ! Bon. On déjeune, et on part, croisant les doigts pour que notre Airbnb nous aide.
La marche de l’après-midi se passe bien, ça enroule.. crête, et même quelques vues. Jusqu’à Pietrostella..(qui sonne comme un nom d’acteur italien, ou un vin… ) .. et ensuite, cela descend très sec, puis remonte (très) dur jusqu’à notre ville d’arrivée, Bisinao. AirBNB remplaçant actuellement le Gîte d’étape ‘A funtana’.
Accueil extraordinaire lors de notre arrivée, notre hôte nous a proposé une solution pour le dîner (plateau de pates, avec gruyère râpé, du pain et du fromage ainsi qu’une crème dessert) , ça sera donc une belle journée et 27 km de plus. 👍
On l’a faite cette étape.. aller, plus qu’une étape et finir les 15 derniers km pour atteindre 140 km total, pour 5800m de d+
Jour 6 : De Bisinao à Porticcio puis Ajaccio
Hier soir, dîner de pâtes ingurgité, on a regardé France 2… « soupçons » série policière Française, ça passe !
Ce matin, nous avons décidé de nous lever comme d’habitude, pour éviter la pluie et arriver au sec. 7h: debout, pour un petit déjeuner rapide. Micro café (Merci le gîte) le reste de pain et nos madeleines englouties.. on part.
Ça monte raide dès le début, bon échauffement. Et puis d’un coup, nos traces gps ne correspondent pas au terrain. Il y a bien 300m d’écart. Il faudrait redescendre mais en bas déjà c’était décalé. On croise une voiture stationnée dont la clé était sur la porte. On se demande.. non, on ne l’utilise pas.. on continue on verra bien, et puis si Google maps dit que c’est bon.. c’est bon ! 🤪
Contrairement aux jours d’avant.. pas de piste a chier.. enfin pistachier par contre les bourdons sont là depuis le début du chemin, à Porto Vecchio. Ils sont si gros que tu croirais qu’un drone te suit !
Le tracé redescend. La lumière augmente avec la température. C’est beaucoup moins facile quand le soleil tape un peu. Et encore, on descend. La descente, je trouve ca plus difficile pour les jambes mais facile pour le cardio, d’ailleurs, j’ai fait quelques mesures : notre vitesse avec sac.. 3.3 km en montée pour 4.4 sur plat : C’est assez pour faire ces 25/30 km par jour..
Nous sommes arrivés a 12:30 a Porticcio, assez tôt pour déjeuner avant de prendre le bateau pour rejoindre Ajaccio de l’autre côté de la baie (5 euros par personne).
Sur ce dernier tronçon, nous n’aurons croisé que deux personnes… Ça fait une moyenne de deux personnes croisées par jour sur ces chemins, et tous avaient des profils plutôt sportifs, et doublaient des étapes.
Sur le bateau, afin d’éviter d’imposer notre odeur aux autres passagers, nous nous mettons, à l’extérieur, devant. Bien nous en aura pris : Un dauphin nous a escorté sur quelques centaines de mètres, à faire des sauts autour du bateau.. Incroyable meme si impossible de le cadrer pour la photo !
Un peu de marche en plus, on repasse devant la station de bus .. devant le ‘proxi’ ou l’on a acheté nos vivres du début, c’est un peu de nostalgie mais c’est aussi bien de finir !
Arrivés à l’hôtel sous quelques gouttes de pluie.. douche, repos ..et fin du périple Corsé !! 🍾🎊
Lorsque vous partagez vos photos en ligne, vous transférez des informations à un tiers mais ne maitrisez pas ce qu’il en adviendra, et ce pour toute la durée de la vie du document partagé. Que ce soit sur les réseaux sociaux, votre site web ou encore les sites du gouvernement, il est crucial de prendre des mesures pour protéger votre travail ou votre identité contre une utilisation non autorisée.
C’est là qu’intervient le watermarking.
Pourquoi avez-vous besoin d’un watermark ?
Les watermarks sont des superpositions de texte ou d’images discrètes ajoutées à vos photos pour indiquer leur propriété. Voici quelques raisons pour lesquelles vous pourriez vouloir utiliser un watermark :
Protection du droit d’auteur : En apposant un watermark sur vos images, vous indiquez clairement que vous êtes le propriétaire légitime de ces œuvres. Cela dissuade les utilisateurs malveillants de les utiliser sans votre autorisation.
Promotion de la marque : Un watermark bien conçu peut également servir de moyen de promotion pour votre marque ou votre entreprise. En ajoutant votre logo ou votre nom à vos images, vous augmentez la visibilité de votre marque chaque fois que vos photos sont partagées.
Identification facile : En cas de vol ou d’utilisation non autorisée de vos images, un watermark peut faciliter l’identification de l’origine de la photo. Cela peut être particulièrement utile si vous devez prendre des mesures légales pour protéger vos droits.
Comment utiliser notre outil de watermark ?
Notre outil de watermark est conçu pour être simple et intuitif à utiliser. Voici les étapes à suivre :
Sélectionnez l’image que vous souhaitez protéger. Vous pouvez télécharger une image depuis votre ordinateur ou utiliser une URL si l’image est déjà en ligne.
Personnalisez votre watermark. Vous pouvez choisir d’ajouter du texte, comme votre nom ou le nom de votre entreprise ou la date du jour.
Validez et téléchargez l’image protégée. Une fois effectué, récupérez l’image avec le watermark et la télécharger sur votre ordinateur.
En suivant ces étapes simples, vous pouvez rapidement et efficacement protéger vos images en ligne avec un watermark personnalisé. N’hésitez pas à utiliser cet outil chaque fois que vous partagez des photos en ligne pour assurer la sécurité et la reconnaissance de votre travail créatif.
Lorsqu’il s’agit de gérer efficacement nos fichiers, qu’il s’agisse de documents importants, de photos précieuses ou de tout autre type de contenu numérique, il est essentiel d’avoir une méthode organisée et cohérente. Une approche que j’ai adoptée et qui a considérablement simplifié ma vie numérique est l’utilisation d’un préfixe de nom de fichier.
Qu’est-ce que la méthode yyyymmdd ?
Le concept est simple : chaque fois que vous créez ou renommez un fichier, commencez par ajouter la date au format yyyymmdd en préfixe au nom du fichier. Ici, « yyyy » représente l’année en quatre chiffres, « mm » le mois et « dd » le jour. Je ne rajoute pas de points entre les jours et les mois, pour réduire la taille du nom de fichier à l’essentiel; par contre, les espaces créant parfois des incompatibilités j’ajoute un ‘tiret du bas’ ou ‘underscore’ entre le préfixe et le nom du fichier, par soucis de lisibilité. Bref, par exemple, si aujourd’hui est le 14 février 2024, le préfixe serait « 20240214_ ». C’est encore plus logique quand on regarde les fichiers issus des appareils photo, qui suivent la même norme !
J’ajoute ensuite le thème du fichier, l’organisme qui à émis le document, que ça soit une facture, une quittance, voire un emplacement; Tout détail me permettant de retrouver facilement le document juste à parti du nom !
Fonction de nommage !
Les avantages de cette méthode sont multiples :
Facilité de recherche : En commençant par la date, vos fichiers sont automatiquement triés chronologiquement. Cela signifie que vous pouvez rapidement retrouver un fichier en vous souvenant simplement de la date à laquelle il a été créé ou modifié.
Organisation cohérente : Avec cette méthode, tous vos fichiers sont nommés de la même manière, ce qui rend la gestion globale de votre système de fichiers beaucoup plus fluide et intuitive. D’un simple coup d’œil, on peut aussi deviner le contenu du fichier et son âge !
Évitement des doublons : En ajoutant la date au nom du fichier, vous réduisez considérablement le risque de créer des doublons. Chaque fichier a un nom unique dès sa création, ce qui facilite la distinction entre différentes versions ou variantes du même document.
Compatibilité mondiale : Finalement, c’est un peu international. En Europe on est plus dd.mm.yyyy pour Jour.Mois.Année. Aux Etat Unis, c’est davantage mm.dd.yyyy, ce qui déroute. En utilisant yyyymmdd, on obtient quelque chose de logique et, peu importe l’emplacement ou vous vous trouvez, dans le monde, le système fonctionnera de la même façon… !
Comment appliquer cette méthode à votre propre système de fichiers ?
Soyez consistant : Assurez-vous d’appliquer cette méthode de manière cohérente à tous vos fichiers. Cela inclut non seulement les documents sur votre ordinateur, mais aussi les photos, les vidéos et tout autre type de contenu numérique.
Automatisez si possible : Si vous utilisez un logiciel de gestion de fichiers ou de photos, recherchez des options permettant d’automatiser le processus de nommage des fichiers. Cela vous fera gagner du temps et garantira une application uniforme de la méthode yyyymmdd_.
Restez flexible : Bien que la méthode yyyymmdd_ soit extrêmement utile, il peut y avoir des cas où vous préférez un autre système de nommage. L’essentiel est de trouver ce qui fonctionne le mieux pour vous et de rester fidèle à cette approche.
En adoptant la méthode yyyymmdd_ pour la gestion de vos fichiers, vous simplifierez grandement votre vie numérique. Plus de temps perdu à chercher des documents égarés ou à essayer de démêler un système de fichiers désorganisé. Essayez-le dès aujourd’hui et découvrez à quel point il peut être facile de rester organisé dans un monde numérique en constante évolution.
L’idée principale derrière la Politique ‘0 Inbox‘ ou ‘Inbox Zero‘ est d’améliorer l’efficacité de la gestion des courriels, en évitant l’encombrement et en s’assurant que chaque message est traité de manière opportune. C’est une des règles utilisées par la méthode ‘GTD’ pour ‘Getting Things Done’.
Sur la partie messagerie du coup, il convient de faire un tri régulier des e-mails, pour effectuer une réponse rapide aux messages importants, et effectuer un classement des e-mails dans des dossiers appropriés, tout en supprimant les courriels inutiles.
Ma notion de ‘Inbox Zero‘ est associée à cette approche de gestion des e-mails visant à maintenir ma boîte de réception vide ou proche de zéro. Ce qui y réside est ce qu’li me reste à faire. Cela signifie que ans ma routine quotidienne, j’organise chaque courriel reçu, de manière à ne laisser aucun message non traité dans ma boîte de réception.
Cela ne veut pas dire que je suis en permanence dans ma boite mail mais par contre, ce qui est fait est marqué en lu, et ce qui reste à faire, que je ne peux gérer en instantané est souvent lu mais tant que non traité, non répondu, est de nouveau marqué en ‘non lu‘ voire, ajouté à un filtre ‘important‘ ou ‘à suivre‘.
Il m’arrive de repousser une tache, et du coup garder ce mail dans ma boite de réception. Parfois, cette procrastination pousse à reconsidérer ce mail et parfois à le supprimer… oui.. ça arrive 😀
Cela fait plus de 15 ans que j’utilise cette technique tant au niveau personnel que professionnel et cette méthode me permet de pouvoir correctement suivre mes courriels mais aussi visualiser les messages et parfois actions, en attente de réponse !
Lié aux loisirs numériques, et dans le but d’accélérer les impressions j’ai décidé fin 2022, d’investir dans une nouvelle imprimante, mon but premier étant d’accélérer les prototypages…
Alors oui, il y a des moyens d’accélérer les imprimantes, via le contrôle de l’imprimante elle même par un ordinateur externe. Ce procédé requiert donc un PC plus fréquemment un Raspberry pi, utilisant le micro logiciel Klipper, pour piloter l’imprimante et pas mal de bidouillage, des câbles qui dépassent, des risques.
Depuis début 2023, Klipper à été intégré aux imprimantes (avec cette carte pi ou alternative cachée dans l’imprimante directement. La Flsun v400 et plus récemment la Biqu Hurakan ont été les premières à intégrer ce firmware ‘dans’ l’imprimante. Du coup, à la recherche d’une imprimante 3D de qualité, mais surtout rapide, et sans y laisser toutes mes économies, la Biqu Hurakan était pour moi, la seule option à considérer.
Cette imprimante 3D est dotée d’une technologie avancée qui offre certains avantages par rapport à d’autres imprimantes 3D sur le marché, notamment par rapport à ma préférée… la Kingroon KP3S.
Voici un aperçu des avantages de la Biqu Hurakan par rapport à la Kingroon KP3S :
Taille et volume d’impression: La Hurakan n’est pas imposante mais quand même.. demande un volume conséquent, cependant permet un volume d’impression de 250 x 250 x 270 mm, tandis que la KP3S au concept minimal, avec rail linéaire et juste deux rails perpendiculaires est limitée à 180 x 180 x 180 mm. Ou pourra dire que la KP3S est très pratique par son volume pour la déplacer quand la Hurakan permet d’imprimer des volumes plus conséquents.
Bruit: Il n’y a pas photo enfin, pas son.. la Hurakan est quasiment silencieuse et même en fonctionnement. à coté la KP3S est un genre de bourdonnement très bruyant : les ventilateurs de l’alimentation et de l’extrudeur sont très très bruyants. Il est certes possible de les changer; Je n’ai pas effectué cette modification (mes imprimantes étant dans mon atelier, à la cave)
Extrusion Bowden vs Direct Drive: La Hurakan est dotée d’un extrudeur Bowden qui ne permet pas forcément le meilleur contrôle des filaments flexibles, par rapport au direct drive de la KP3S. La KP3S peut donc imprimer TPU (filament flexible) sans soucis quand la Hurakan pourrait avoir des soucis de rétractation.
Stabilité: La Hurakan est construite avec des pièces en métal de qualité, tout comme la KP3S, ce qui leur confère une stabilité accrue et réduit les vibrations pendant l’impression.
Grande vitesse d’impression: La Hurakan est conçue pour une vitesse d’impression élevée, pouvant aller à plus de 300 mm/s, tandis que la Kingroon KP3S est plus limitée en termes de vitesse d’impression, allant jusqu’à 80 mm/s. Ceci est du principalement à la carte contrôleur, plus puissante et permettant le calcul via un capteur d’accélération de la raisonnante et les vitesses optimales de déplacement à grande vitesse pour éviter les vibrations, et optimiser les extrusions. A noter cependant, la rapidité d’impression est de loin meilleure sur la Hurakan qui divise par 2 ou 3 le temps d’une impression sur la KP3S, cependant le temps de démarrage et de création du mesh (nivellement automatique) entraîne directement 5 minutes de pénalité. Dépendant du volume à imprimer, la Hurakan ne sera pas forcément la première pour les petites pièces !
Nivellement automatique: La Hurakan est équipée d’un système de nivellement automatique, ce qui simplifie grandement le processus de nivellement du lit d’impression. La Kingroon KP3S, quant à elle, nécessite plus de travail pour un lit parfaitement réglé. Attention.. le nivellement automatique permet de rattraper les écarts entre certains points mais ne dispense pas de réglage minutieux non plus 😉
Connexion à distance: La Hurakan permet de se connecter à distance via câble RJ 45 ou WiFI, à l’imprimante, pour démarrer, arrêter ou juste suivre l’impression 3D. Un tableau de bord complet est proposé permettant accélérer, ralentir, régler et optimiser en cours d’impression, y compris les offset Z ou températures.
Macro et optimisation: Via le contrôle à distance, tous genres de macros et automatisations peuvent être configurées. J’ai par exemple défini la couleur de l’afficheur LCD et de l’extrudeur, .. bleu = froid, orange = chauffe, rouge = imprime et vert = pause mais aussi optimisé les cycles de début et fin d’impression. Cela se passe via les commandes SET_LED LED qu’il faut inclure dans chacune des macro existantes.
Installé d’office, sur la Hurakan, un détecteur de fin de filament, mettra l’impression en pause si le filament venait à manquer. D’autre part, via un simple branchement de webcam sur le port USB au dos de la Hurakan, il devient trivial d’avoir une visualisation sur le plateau d’impression, et d’effectuer des Timelapse, automatiquement.
A l’aide de macros, il est possible de les optimiser aussi pour stationner la tête d’impression pour que le Timelapse se fasse par niveau (plus complexe mais cela m’était possible aussi avec la KP3S).
En conclusion -début 2023- , la Biqu Hurakan est une imprimante 3D de qualité qui comble certains points qui me manquaient, mais ne me permet pas d’effacer la KP3S de mon inventaire.
+ Hurakan : Contrôle à distance, rapidité et volume d’impression; macros et silence
+ KP3S : Portable, filaments flexibles, début d’impression rapide.
Nous sommes maintenant début 2024…,
J’ai pu utiliser la Hurakan pendant près d’un an, et ai expérimenté plusieurs soucis lors de mes différents projets. Le plus fréquent et bloquant, à été surtout lié au manque d’isolation tout autour de l’imprimante. Le manque de caisson fait qu’avec la différence de température, le plastique se rétracte après son dépôt sur le plateau et se recroqueville. Sur les petites pièces c’est anecdotique, mais sur les grandes, c’est vraiment embêtant. C’est un défaut qui touche toutes les imprimantes, simplement que sa place n’était pas la meilleure !
Plus récemment, c’est la buse qui s’est retrouvée pleine de plastique et dont j’ai cassé la partie menant à l’extrudeur lors du démontage. J’ai du acheter les pièces et refaire un extrudeur complet..
J’ai aussi fait évoluer l’extrudeur Bowden vers un direct drive, qui alourdi la tête d’impression, mais permet cependant d’imprimer du filament flexible. Cette évolution permet en outre une impression plus soignée (extrudeur amélioré et meilleure précision de la roue d’entrainement), cependant son installation n’a pas été aussi simple que celle de la notice fournie.
A titre d’information, il faut en plus des informations fournies, inverser l’axe de rotation de l’extrudeur dans le fichier generic-bigtreetech-m4p-hurakan.cfg. Voici les parties probe et extruder complètes :
Posséder des enceintes connectées et une domotique, c’est avoir la possibilité d’automatiser des annonces.
Image Sonos
Au quotidien, il y a des choses que nous ne voulons pas rater, et je vais parler pour un exemple bête, du jour ou il faut sortir les poubelles pour que le camion les récupère. Chez moi, c’est le lundi soir pour une levée le mardi matin.
Le lien avec la domotique, l’automatisation : quoi qu’il se passe dans ma journée, le soir, une annonce sera diffusée dans la maison et ce grâce à python et au module « soco-cli »
Les pré requis, du moins dans ma version : une enceinte sonos et un actionneur domotique (j’utilise une tache Cron) , voici la préparation du puzzle :
A- Installer les outils sonos et trouver la commande
À défaut d’avoir un mp3 qui vous plaise, vous pouvez créer un son vous même avec une voix de synthèse. Pour cela, utilisons la commande espeak : (qui peut etre installée via « apt-get install espeak »)
espeak -v fr "les enfants, il faut mettre le couvert !" --stdout | ffmpeg -y -i - -acodec libmp3lame mettrelecouvert.mp3
Pour jouer ce mp3, il faut une enceinte, alors exécutez la commande « sonos-discover » pour lister les enceintes du réseau local. Un beau tableau avec le nom, l’adresse IP, le modèle apparaîtra..
Ensuite, par exemple, pour envoyer le fichier mettrelecouvert.mp3 sur l’enceinte Bureau :
sonos Bureau play_file mettrelecouvert.mp3
Il existe plein d’options, pour ajouter une temporisation, grouper ou séparer des enceintes, gérer le volume.. par exemple pour grouper, gérer le volume, lancer un mp3, les re-séparer et remettre un volume acceptable (j’ai ajouté une pause d’une seconde à chaque fois pour les délais liés aux commandes) :
J’ai vite rencontré des limites car sur mon système, la Crontab est chargée au démarrage et nést ensuite, pas modifiable. Pour la prendre en compte, il basiquement, redémarrer le PC pour qu’elle soit actualisée.
J’ai donc décidé de lancer une commande bash chaque 10 minutes, ce bash va lui vérifier l’heure et effectuer la tache souhaitée. Voici la tache Cron
*/10 * * * * /home/pi/sonos.sh > /dev/null
Et le fichier sonos.sh :
#!/bin/bash
# Programme du matin en semaine
alias sbd="sonos Cuisine : 'living room' group Cuisine : wait 1s : Cheminee group Cuisine : wait 1s : Bureau group Cuisine"
alias bye="sonos Cuisine if_stopped volume 10 : wait 1s : Bureau if_stopped ungroup : wait 1s : Chambre if_stopped ungroup"
#Set default configuration
sonos 'living room' group Cuisine : wait 1s : Cheminee group Cuisine
if [[ $(date +%u) -le 5 ]]; then
if [[ $(date +%H%M) -eq 700 ]]; then
sonos Cuisine play_file ilest7hBonjour.mp3
elif [[ $(date +%H%M) -eq 800 ]]; then
sonos Cuisine 31 : Cuisine play_file ilest8h.mp3
fi
fi
# Programme de tous les midis & soirs
if [[ $(date +%H%M) -eq 1150 ]]; then
sonos Bureau group Cuisine
sonos Cuisine if_stopped volume 40 : Cuisine if_stopped play_file mettrelatable.mp3
elif [[ $(date +%H%M) -eq 2030 ]]; then
sonos Cuisine if_stopped volume 31 : Cuisine if_stopped play_file ilest20h30.mp3
fi
# Programme du weekend
#if [[ $(date +%u) -eq 6 || $(date +%u) -eq 7 ]]; then
#if [[ $(date +%H%M) -eq 1145 ]]; then
#fi
#fi
# Le lundi soir 19h10 et 19h20 et 20h10 et 20h20
if [[ $(date +%u) -eq 1 ]]; then
if [[ $(date +%H%M) -eq 1940 || $(date +%H%M) -eq 2010 || $(date +%H%M) -eq 2020 ]]; then
sonos Cuisine if_stopped volume 12 : Cuisine if_stopped play_file ilfautsortirlapoubelle.mp3
fi
fi
#Reset default configuration
sonos Cuisine if_stopped volume 10 : wait 1s : Bureau if_stopped ungroup : wait 1s : Chambre if_stopped ungroup
C’est déjà pas mal, mais c’est tout.. vous pouvez maintenant il n’y a qu’à profiter 😉
Recevoir une demande en mariage est l’un des moments les plus excitants et les plus mémorables de la vie d’un couple. Mais que se passe-t-il lorsqu’un élément inattendu entre en jeu, comme graver au laser une demande en mariage sur du camembert, avec une réponse à graver sur deux petits pains : oui et non ?
C’est exactement ce qui m’est arrivé il y a quelques semaines.. et c’est ainsi qu’avec le logo et la matière première fournie par le demandeur (petits pains ronds, époisses et camembert), j’ai pu effectuer des tests, et mettre au point la stratégie gagnante !
Concernant le laser, il faut savoir qu’une des difficulté c’est la distance entre l’émetteur et la cible qui compte. Il faut une distance mesurée et celle ci ne doit pas avoir trop de différences sous peine que la lumière du laser ne soit plus concentrée, et crée des écarts.
Il faut aussi, que l’objet de destination ne soit pas brillant, afin que le laser ne réfléchisse pas. Le premier test fait sur le fromage époisses n’ était pas du tout concluant et même si la vitesse était réduite.. cependant je vous garantis l’odeur dans mon atelier !!
Je ne m’y attendais un peu mais la différence de niveau, la texture et le coté brillant.. rien n’y a fait.
Je me suis donc retourné vers le camembert..
Et puis, le support pour la réponse, du premier test à gauche, non concluant, pour à la version finale à droite..
La commande à été ensuite, transférée au demandeur pour le jour attendu. Pour cette journée et demande spéciale, le fromage avait également été joliment décoré avec des fruits, des noix et du miel pour ajouter une touche de sophistication, il parait qu’il à été dégusté et la demande faite comme il se doit.
Recevoir une demande en mariage sur du fromage est une idée originale et créative qui peut vraiment surprendre et émerveiller votre partenaire. C’est une façon unique de faire une demande en mariage qui crée des souvenirs inoubliables pour les deux personnes impliquées mélangeant sentiments, odeurs et saveurs.
Je dois admettre que j’étais étonné et surpris de cette demande – dont pour information, la fin se termine bien – mais comme rien n’est impossible… si vous êtes à la recherche d’une façon unique de faire une demande en mariage, pourquoi ne pas envisager de graver un message sur du fromage ?
Le jour de mariage d’un ami ou d’un membre de la famille est une occasion spéciale qui mérite un cadeau unique et mémorable.
Récemment, on m’a confronté à ce défi lorsqu’un ami m’a demandé de lui trouver un cadeau de mariage original pour sa cousine. Après avoir réfléchi à plusieurs idées, j’ai décidé de graver leur logo sur un tronc, et le résultat a été intéressant. Pour cela, il à fallu faire un logo original, ajouter les informations des mariés, et trouver une bille de bois possédant une taille parfaite et une belle texture.
Chose faite, j’ai ensuite utilisé ma récente graveuse, pour créer le design du logo sur le tronc.
La gravure a pris quelques minutes, car le bois sec possède une structure qui marque très rapidement. À l’aide de l’air assit de mon laser, les fumées et autres dépôts ont disparu directement, pour laisser chaque détail du logo précis et net.
Une fois la gravure terminée, il ne reste qu’à ajouter une couche de vernis pour protéger le tronc et faire ressortir les couleurs du bois. Le résultat final était magnifique, et j’étais sûr que le couple allait adorer leur cadeau unique, qu’ils pourront exposer chez eux.
Graver un logo sur un tronc pour un cadeau de mariage est une idée originale qui peut être personnalisée de nombreuses façons. Non seulement c’est un cadeau unique et mémorable, mais c’est aussi un excellent moyen d’utiliser la nature pour créer quelque chose de beau et d’utile. Si vous cherchez une idée de cadeau pour un mariage ou une occasion spéciale, n’hésitez pas à vous D6D et utiliser le formulaire de contact !!
Le but de ce tuto est de connecter votre équipement compatible GRBL en WiFi, puis de le contrôler à distance, via un port Com virtual (redirigé vers l’adresse IP du contrôleur GRBL) dans le cas ou votre logiciel préféré ne le permettrait pas !
Sur le Laser Master 3 et j’imagine les autres périphériques connectés, il y a bien sur une interface Web, qui vous permet de faire le pilotage à distance, mais autant utiliser la technologie sans fil pour éviter de dédier une machine au laser, ou d’exporter le Gcode et le réimporter de l’autre côté ⇒ Nous pourrons piloter intégralement l’équipement à distance et je vais ici parler de mon nouveau Laser Master 3.
À noter que depuis quelques temps, Lightburn permet déjà cette fonctionalité 😉
Tout d’abord, se connecter au laser avec le cable USB, et le configurer pour un acès à distance via les commandes :
$74=mywifissid # Votre point d’accès $75=mywifipassword # Votre mot de passe $WRS # Recharger la configuration réseau
Vous devriez, si tout va bien, vous devriez visualiser dans l’interface de commande, la nouvelle adresse IP assignée à votre laser.
Passons maintenant au PC qui sera utilisé à distance et évidement sur le même réseau IP. Téléchargement de Tibbo Virtual Serial Port Driver (VSPD) x64 pour ma part. Installation puis configuration via la création d’un port virtuel en utilisant les paramètres suivants :
Tibbo – Ajout d’un port virtuel – Cliquer sur ‘Elevate‘ puis ‘Add‘
Propriété du port Com, de l’IP et du port distant
Propriétés du port Com (vitesse 115k)
C’est tout. Merci Tibbo..
Votre équipement GRBL connecté à votre réseau WiFi est maintenant virtuellement connecté à votre PC distant.
Résumé des outils pour piloter GRBL à distance dans la mesure ou il est connecté à un réseau :