Ma règle pour protéger les documents que je partage

Lorsque vous partagez vos photos en ligne, vous transférez des informations à un tiers mais ne maitrisez pas ce qu’il en adviendra, et ce pour toute la durée de la vie du document partagé. Que ce soit sur les réseaux sociaux, votre site web ou encore les sites du gouvernement, il est crucial de prendre des mesures pour protéger votre travail ou votre identité contre une utilisation non autorisée.

C’est là qu’intervient le watermarking.

Pourquoi avez-vous besoin d’un watermark ?

Les watermarks sont des superpositions de texte ou d’images discrètes ajoutées à vos photos pour indiquer leur propriété. Voici quelques raisons pour lesquelles vous pourriez vouloir utiliser un watermark :

  1. Protection du droit d’auteur : En apposant un watermark sur vos images, vous indiquez clairement que vous êtes le propriétaire légitime de ces œuvres. Cela dissuade les utilisateurs malveillants de les utiliser sans votre autorisation.
  2. Promotion de la marque : Un watermark bien conçu peut également servir de moyen de promotion pour votre marque ou votre entreprise. En ajoutant votre logo ou votre nom à vos images, vous augmentez la visibilité de votre marque chaque fois que vos photos sont partagées.
  3. Identification facile : En cas de vol ou d’utilisation non autorisée de vos images, un watermark peut faciliter l’identification de l’origine de la photo. Cela peut être particulièrement utile si vous devez prendre des mesures légales pour protéger vos droits.

Comment utiliser notre outil de watermark ?

Notre outil de watermark est conçu pour être simple et intuitif à utiliser. Voici les étapes à suivre :

  1. Accédez à ma page de watermark en ligne .
  2. Sélectionnez l’image que vous souhaitez protéger. Vous pouvez télécharger une image depuis votre ordinateur ou utiliser une URL si l’image est déjà en ligne.
  3. Personnalisez votre watermark. Vous pouvez choisir d’ajouter du texte, comme votre nom ou le nom de votre entreprise ou la date du jour.
  4. Validez et téléchargez l’image protégée. Une fois effectué, récupérez l’image avec le watermark et la télécharger sur votre ordinateur.

En suivant ces étapes simples, vous pouvez rapidement et efficacement protéger vos images en ligne avec un watermark personnalisé. N’hésitez pas à utiliser cet outil chaque fois que vous partagez des photos en ligne pour assurer la sécurité et la reconnaissance de votre travail créatif.

Fonction de nommage !
Ma règle de nommage pour -tous- mes fichiers

Lorsqu’il s’agit de gérer efficacement nos fichiers, qu’il s’agisse de documents importants, de photos précieuses ou de tout autre type de contenu numérique, il est essentiel d’avoir une méthode organisée et cohérente. Une approche que j’ai adoptée et qui a considérablement simplifié ma vie numérique est l’utilisation d’un préfixe de nom de fichier.

Qu’est-ce que la méthode yyyymmdd ?

Le concept est simple : chaque fois que vous créez ou renommez un fichier, commencez par ajouter la date au format yyyymmdd en préfixe au nom du fichier. Ici, « yyyy » représente l’année en quatre chiffres, « mm » le mois et « dd » le jour. Je ne rajoute pas de points entre les jours et les mois, pour réduire la taille du nom de fichier à l’essentiel; par contre, les espaces créant parfois des incompatibilités j’ajoute un ‘tiret du bas’ ou ‘underscore’ entre le préfixe et le nom du fichier, par soucis de lisibilité. Bref, par exemple, si aujourd’hui est le 14 février 2024, le préfixe serait « 20240214_ ». C’est encore plus logique quand on regarde les fichiers issus des appareils photo, qui suivent la même norme !

J’ajoute ensuite le thème du fichier, l’organisme qui à émis le document, que ça soit une facture, une quittance, voire un emplacement; Tout détail me permettant de retrouver facilement le document juste à parti du nom !

Fonction de nommage !
Fonction de nommage !

Les avantages de cette méthode sont multiples :

  1. Facilité de recherche : En commençant par la date, vos fichiers sont automatiquement triés chronologiquement. Cela signifie que vous pouvez rapidement retrouver un fichier en vous souvenant simplement de la date à laquelle il a été créé ou modifié.
  2. Organisation cohérente : Avec cette méthode, tous vos fichiers sont nommés de la même manière, ce qui rend la gestion globale de votre système de fichiers beaucoup plus fluide et intuitive. D’un simple coup d’œil, on peut aussi deviner le contenu du fichier et son âge !
  3. Évitement des doublons : En ajoutant la date au nom du fichier, vous réduisez considérablement le risque de créer des doublons. Chaque fichier a un nom unique dès sa création, ce qui facilite la distinction entre différentes versions ou variantes du même document.
  4. Compatibilité mondiale : Finalement, c’est un peu international. En Europe on est plus dd.mm.yyyy pour Jour.Mois.Année. Aux Etat Unis, c’est davantage mm.dd.yyyy, ce qui déroute. En utilisant yyyymmdd, on obtient quelque chose de logique et, peu importe l’emplacement ou vous vous trouvez, dans le monde, le système fonctionnera de la même façon… !

Comment appliquer cette méthode à votre propre système de fichiers ?

  1. Soyez consistant : Assurez-vous d’appliquer cette méthode de manière cohérente à tous vos fichiers. Cela inclut non seulement les documents sur votre ordinateur, mais aussi les photos, les vidéos et tout autre type de contenu numérique.
  2. Automatisez si possible : Si vous utilisez un logiciel de gestion de fichiers ou de photos, recherchez des options permettant d’automatiser le processus de nommage des fichiers. Cela vous fera gagner du temps et garantira une application uniforme de la méthode yyyymmdd_.
  3. Restez flexible : Bien que la méthode yyyymmdd_ soit extrêmement utile, il peut y avoir des cas où vous préférez un autre système de nommage. L’essentiel est de trouver ce qui fonctionne le mieux pour vous et de rester fidèle à cette approche.

En adoptant la méthode yyyymmdd_ pour la gestion de vos fichiers, vous simplifierez grandement votre vie numérique. Plus de temps perdu à chercher des documents égarés ou à essayer de démêler un système de fichiers désorganisé. Essayez-le dès aujourd’hui et découvrez à quel point il peut être facile de rester organisé dans un monde numérique en constante évolution.

Inbox Zero
Ma règle « 0 inbox » (Gestion de boite e-mail)
Inbox Zero
Inbox Zero

L’idée principale derrière la Politique ‘0 Inbox‘ ou ‘Inbox Zero‘ est d’améliorer l’efficacité de la gestion des courriels, en évitant l’encombrement et en s’assurant que chaque message est traité de manière opportune. C’est une des règles utilisées par la méthode ‘GTD’ pour ‘Getting Things Done’.

Sur la partie messagerie du coup, il convient de faire un tri régulier des e-mails, pour effectuer une réponse rapide aux messages importants, et effectuer un classement des e-mails dans des dossiers appropriés, tout en supprimant les courriels inutiles.

Ma notion de ‘Inbox Zero‘ est associée à cette approche de gestion des e-mails visant à maintenir ma boîte de réception vide ou proche de zéro. Ce qui y réside est ce qu’li me reste à faire. Cela signifie que ans ma routine quotidienne, j’organise chaque courriel reçu, de manière à ne laisser aucun message non traité dans ma boîte de réception.

Cela ne veut pas dire que je suis en permanence dans ma boite mail mais par contre, ce qui est fait est marqué en lu, et ce qui reste à faire, que je ne peux gérer en instantané est souvent lu mais tant que non traité, non répondu, est de nouveau marqué en ‘non lu‘ voire, ajouté à un filtre ‘important‘ ou ‘à suivre‘.

Il m’arrive de repousser une tache, et du coup garder ce mail dans ma boite de réception. Parfois, cette procrastination pousse à reconsidérer ce mail et parfois à le supprimer… oui.. ça arrive 😀

Cela fait plus de 15 ans que j’utilise cette technique tant au niveau personnel que professionnel et cette méthode me permet de pouvoir correctement suivre mes courriels mais aussi visualiser les messages et parfois actions, en attente de réponse !

Biqu-Hurakan
Mon avis sur l’imprimante 3D BiQu Hurakan

Article rédigé mi 2023, publié un peu trop tard 😉

Lié aux loisirs numériques, et dans le but d’accélérer les impressions j’ai décidé fin 2022, d’investir dans une nouvelle imprimante, mon but premier étant d’accélérer les prototypages…

Alors oui, il y a des moyens d’accélérer les imprimantes, via le contrôle de l’imprimante elle même par un ordinateur externe. Ce procédé requiert donc un PC plus fréquemment un Raspberry pi, utilisant le micro logiciel Klipper, pour piloter l’imprimante et pas mal de bidouillage, des câbles qui dépassent, des risques.

Depuis début 2023, Klipper à été intégré aux imprimantes (avec cette carte pi ou alternative cachée dans l’imprimante directement. La Flsun v400 et plus récemment la Biqu Hurakan ont été les premières à intégrer ce firmware ‘dans’ l’imprimante. Du coup, à la recherche d’une imprimante 3D de qualité, mais surtout rapide, et sans y laisser toutes mes économies, la Biqu Hurakan était pour moi, la seule option à considérer.

Imprimante 3D Biqu Huranak

Cette imprimante 3D est dotée d’une technologie avancée qui offre certains avantages par rapport à d’autres imprimantes 3D sur le marché, notamment par rapport à ma préférée… la Kingroon KP3S.


Voici un aperçu des avantages de la Biqu Hurakan par rapport à la Kingroon KP3S :

Taille et volume d’impression: La Hurakan n’est pas imposante mais quand même.. demande un volume conséquent, cependant permet un volume d’impression de 250 x 250 x 270 mm, tandis que la KP3S au concept minimal, avec rail linéaire et juste deux rails perpendiculaires est limitée à 180 x 180 x 180 mm. Ou pourra dire que la KP3S est très pratique par son volume pour la déplacer quand la Hurakan permet d’imprimer des volumes plus conséquents.

Bruit: Il n’y a pas photo enfin, pas son.. la Hurakan est quasiment silencieuse et même en fonctionnement. à coté la KP3S est un genre de bourdonnement très bruyant : les ventilateurs de l’alimentation et de l’extrudeur sont très très bruyants. Il est certes possible de les changer; Je n’ai pas effectué cette modification (mes imprimantes étant dans mon atelier, à la cave)

Extrusion Bowden vs Direct Drive: La Hurakan est dotée d’un extrudeur Bowden qui ne permet pas forcément le meilleur contrôle des filaments flexibles, par rapport au direct drive de la KP3S. La KP3S peut donc imprimer TPU (filament flexible) sans soucis quand la Hurakan pourrait avoir des soucis de rétractation.

Stabilité: La Hurakan est construite avec des pièces en métal de qualité, tout comme la KP3S, ce qui leur confère une stabilité accrue et réduit les vibrations pendant l’impression.

Grande vitesse d’impression: La Hurakan est conçue pour une vitesse d’impression élevée, pouvant aller à plus de 300 mm/s, tandis que la Kingroon KP3S est plus limitée en termes de vitesse d’impression, allant jusqu’à 80 mm/s. Ceci est du principalement à la carte contrôleur, plus puissante et permettant le calcul via un capteur d’accélération de la raisonnante et les vitesses optimales de déplacement à grande vitesse pour éviter les vibrations, et optimiser les extrusions. A noter cependant, la rapidité d’impression est de loin meilleure sur la Hurakan qui divise par 2 ou 3 le temps d’une impression sur la KP3S, cependant le temps de démarrage et de création du mesh (nivellement automatique) entraîne directement 5 minutes de pénalité. Dépendant du volume à imprimer, la Hurakan ne sera pas forcément la première pour les petites pièces !

Nivellement automatique: La Hurakan est équipée d’un système de nivellement automatique, ce qui simplifie grandement le processus de nivellement du lit d’impression. La Kingroon KP3S, quant à elle, nécessite plus de travail pour un lit parfaitement réglé. Attention.. le nivellement automatique permet de rattraper les écarts entre certains points mais ne dispense pas de réglage minutieux non plus 😉

Connexion à distance: La Hurakan permet de se connecter à distance via câble RJ 45 ou WiFI, à l’imprimante, pour démarrer, arrêter ou juste suivre l’impression 3D. Un tableau de bord complet est proposé permettant accélérer, ralentir, régler et optimiser en cours d’impression, y compris les offset Z ou températures.

Macro et optimisation: Via le contrôle à distance, tous genres de macros et automatisations peuvent être configurées. J’ai par exemple défini la couleur de l’afficheur LCD et de l’extrudeur, .. bleu = froid, orange = chauffe, rouge = imprime et vert = pause mais aussi optimisé les cycles de début et fin d’impression. Cela se passe via les commandes SET_LED LED qu’il faut inclure dans chacune des macro existantes.

Installé d’office, sur la Hurakan, un détecteur de fin de filament, mettra l’impression en pause si le filament venait à manquer. D’autre part, via un simple branchement de webcam sur le port USB au dos de la Hurakan, il devient trivial d’avoir une visualisation sur le plateau d’impression, et d’effectuer des Timelapse, automatiquement.

A l’aide de macros, il est possible de les optimiser aussi pour stationner la tête d’impression pour que le Timelapse se fasse par niveau (plus complexe mais cela m’était possible aussi avec la KP3S).

Ces macros sont partagées sur mon github !!!

En conclusion -début 2023- , la Biqu Hurakan est une imprimante 3D de qualité qui comble certains points qui me manquaient, mais ne me permet pas d’effacer la KP3S de mon inventaire.

+ Hurakan : Contrôle à distance, rapidité et volume d’impression; macros et silence

+ KP3S : Portable, filaments flexibles, début d’impression rapide.

Nous sommes maintenant début 2024…,

J’ai pu utiliser la Hurakan pendant près d’un an, et ai expérimenté plusieurs soucis lors de mes différents projets. Le plus fréquent et bloquant, à été surtout lié au manque d’isolation tout autour de l’imprimante. Le manque de caisson fait qu’avec la différence de température, le plastique se rétracte après son dépôt sur le plateau et se recroqueville. Sur les petites pièces c’est anecdotique, mais sur les grandes, c’est vraiment embêtant. C’est un défaut qui touche toutes les imprimantes, simplement que sa place n’était pas la meilleure !

Plus récemment, c’est la buse qui s’est retrouvée pleine de plastique et dont j’ai cassé la partie menant à l’extrudeur lors du démontage. J’ai du acheter les pièces et refaire un extrudeur complet..

J’ai aussi fait évoluer l’extrudeur Bowden vers un direct drive, qui alourdi la tête d’impression, mais permet cependant d’imprimer du filament flexible. Cette évolution permet en outre une impression plus soignée (extrudeur amélioré et meilleure précision de la roue d’entrainement), cependant son installation n’a pas été aussi simple que celle de la notice fournie.

A titre d’information, il faut en plus des informations fournies, inverser l’axe de rotation de l’extrudeur dans le fichier generic-bigtreetech-m4p-hurakan.cfg. Voici les parties probe et extruder complètes :

[probe]
pin: ^PC14
deactivate_on_each_sample: False
x_offset: -41.0
y_offset: -0.0
#z_offset: 2.6
speed: 5.0
samples: 2
#sample_retract_dist: 2.0
samples_tolerance: 0.05
samples_tolerance_retries: 3
activate_gcode:
    Probe_Deploy
    G4 P500
      # allow time for probe to deploy before homing Z
deactivate_gcode:
    Probe_Stow

[extruder]
step_pin: PB3
dir_pin: !PB4
enable_pin: !PD5
microsteps: 16
rotation_distance: 24.031 #24.15
gear_ratio : 7:1
nozzle_diameter: 0.400
filament_diameter: 1.750
heater_pin: PC8
sensor_type: Generic 3950
sensor_pin: PA0
control: pid
pid_Kp: 17.915
pid_Kd: 106.145
pid_Ki: 0.756
min_temp: 0
max_temp: 275
max_extrude_only_accel: 1000
min_extrude_temp:20
full_steps_per_rotation:200

[bed_mesh]
mesh_max: 190, 220

[safe_z_home]
home_xy_position: 157,117

[stepper_x]
position_endstop: 0
position_min: 0

[stepper_y]
position_endstop: -7
position_min: -7

Bilan : je garde les deux, mais remplace de fait, ma « Tevo Tarantula » qui se retrouve dépassée sur tous ces points;

Ne ratez pas cependant, bientôt, la nouvelle venue à l’atelier.. 😉

En attendant, je ne peux que vous encourager à revenir vers moi pour tous vos travaux d’impression 3D 😉